Daphné Bürki égérie de Schweppes Zéro : “Etre drôle, ce n’est pas inscrit sur mon CV”.

Daphné Bürki prête son image aux sodas Schweppes Zéro en compagnie de son fiancé Gunther Love. Le  joyeux couple s’est amusé à dessiner des tatouages pour habiller les canettes de cette boisson gazeuse.

Daphné Bürki est la plus drôle des animatrices télé. La seule peut-être ? Si Laurence Boccolini a beaucoup d’humour, hélas les espaces qu’on lui laisse ne permette pas toujours à cette femme pertinente de l’exprimer. Contrairement à Valérie Damidot qui amuse en jouant les rigolotes dans D&CO. Dora Tillier, météo girl du Grand Journal est étonnante et redonne à l’exercice ses lettres de drôlesse. Je trouve Alessandra Sublet beaucoup moins drôle qu’on ne le dit. Sauf quand elle ne le fait pas exprès car elle lasse et navre en s’évertuant à imiter l’accent créole de Babette de Rozière, chef cuisinier présent sur le plateau de C à Vous. A part ça ? Ah, oui. Enora Malagré, chroniqueuse de l’émission Touche pas à mon poste. Mais je la vois davantage comme une grande gueule que comme une marrante même si la plupart de ses interventions très cash ne manquent pas de sel. Mais revenons à Daphné assez naturelle, bien dans ses pompes, du haut de son mètre quatre-vingts. Elle est le rayon du Grand Journal de Canal + dont on désespérait qu’il puisse et sache mettre en avant une femme belle et intelligente. Je l’ai rencontrée il y a quelques semaines à L’Hôtel Amour, rendez-vous branché situé dans le IX ème arrondissement de Paris à l’occasion du lancement de la boisson Schweppes Zéro dont elle et son fiancé Gunther Love, comédien et air guitariste sont les images, le temps d’une édition limitée. Dernier né dans l’univers des sodas, Schweppes Zéro enterre Schweppes Light et se décline – outre l’indéboulonable Indian Tonic- en quatre nouveaux goûts : Agrum’, Lemon, Ananas et Fraise.

Le petit déj que Daphné n’a pas commandé. Très intéressant !

C’est autour d’une table débordante de victuailles entre lesquelles trônaient évidemment des canettes de Schweppes Zéro que j’ai rencontré l’animatrice. Malgré les envies gourmandes qu’on prête aux femmes enceintes, Daphné Bürki, dont on envie la silhouette, s’est tenue à une distance raisonnable de tous les cupcakes et autres sucreries proposées ce matin-là en guise de petit déjeuner. Quand j’ai entendu à côté de moi, une blogueuse un peu fétichiste dire : «J’ai immortalisé tout ce que Daphné Bürki a touché », ça m’a fichu la trouille. Et j’ai décidé de faire l’exact contraire de ce que ferait cette fan. Je ne vous montrerai donc pas le petit déjeuner que Daphné Bürki a pris mais celui auquel elle n’a pas touché. Ça me rappelle le sketch de Laspalès et Chevallier sur Melun et le Musée Alexandre Dumas dans lequel le duo d’humoristes évoquent une assiette et un lit dans lesquels Dumas n’a jamais mangé ni dormi. Dumas n’ayant jamais vécu à Melun.

 

MA MÈRE ME DIT : «JE NE VOIS PAS CE QU’IL A DE BIZARRE, TON RIRE»

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Bonjour, je suis Isabelle du Blogfemmequirit.

 DAPHNÉ BÜRKI. (Grand sourire)…Oh, femme qui rit à moitié quelque part…(grand éclat de rire)

 LEBLOGFEMMEQUIRIT. Je ne peux pas y échapper. Et vous, vous n’échappez pas aux commentaires sur votre rire que je découvre en vrai.

DAPHNÉ BÜRKI. Oui, je sais mais j’ai toujours ri de la même manière. Ma mère est désespérée car elle m’a toujours dit : «Je ne vois pas ce qu’il a de bizarre, il est très bien ton rire !».

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Vous êtes l’une des rares animatrices drôles de la télévision. Qu’est-ce qui vous fait rire ?

Daphné photographiée avec le Samsung Camera MV900F.

DAPHNÉ BÜRKI. Beaucoup de choses mais avant tout, j’ai un peu le plaisir de vivre, voilà. Et je suis très bon public donc tout me fait rire, du moins, beaucoup de choses me font sourire ou j’essaie de les tourner vers le sourire.

«JE NE ME DIS PAS QUE JE SUIS DRÔLE.  JE SUIS NORMALE».

LEBLOGFEMMEQUIRIT. A quel moment de votre vie vous a t-on dit que vous étiez drôle ? Ou peut-être vous en êtes-vous aperçue vous-même ?

DAPHNÉ BÜRKI. Ah, non ce n’est pas écrit sur mon CV en tout cas ! Je ne me dis pas que je suis drôle. Je suis complètement normale mais j’ai bien compris à l’école qu’il y avait un souci quand je me faisais dégager régulièrement des cours et virer une bonne fois pour toutes parce que je faisais un peu trop de fanfaronnades. Mais je ne vois pas en quoi c’est un défaut.

 

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Vous êtes maman d’une petite fille (Ndlr : Hedda, âgée de 6 ans est la fille du musicien et chanteur Travis Bürki) et attendez un deuxième enfant. Est-ce dans cet esprit que vous élevez l’aînée et prévoyez d’élever sa cadette ou son cadet ?

DAPHNÉ BÜRKI. Ma fille est déjà poilante. Elle fait ce qu’elle veut. Je lui donne deux trois bases après, elle fait ce qu’elle veut. En ce moment, j’essaie de lui expliquer la différence entre rire d’une blague et se moquer de quelqu’un car là, elle croit que dès qu’on rit on se moque. Elle est à l’âge où on est un peu sensible. C’est marrant que vous me posiez cette question car j’avais un «débat» avec elle avant-hier. C’est pas évident à expliquer.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Quels comédies et comédiens vous font rire ?

DAPHNÉ BÜRKI. En ce moment, je suis très fan d’Alex Lutz et d’Audrey Lamy qui me font beaucoup rire. J’aime aussi beaucoup le Palmashow sur D8. J’ai revu récemment TED qui m’a fait rire.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Pensez-vous qu’il existe un humour féminin et un humour masculin ?

DAPHNÉ BÜRKI. Je ne crois pas. Je crois qu’on peut réussir à rire de tout avec tout le monde.

“L’HUMOUR EST SYNONYME DE BONHEUR, A PRIORI”

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Quelle est votre définition de l’humour ?

DAPHNÉ BÜRKI. C’est vachement dur cette question ! Il faut aller voir dans le dico (rires). Je ne sais pas, en tout cas, l’humour c’est synonyme de bonheur, a priori.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Qu’est-ce qui ne vous fait pas rire?

DAPHNÉ BÜRKI. Oh lala ! Oh lala ! Il y a beaucoup de choses dans l’actu qui ne me font pas rire. Là, je suis dans l’euphorie et je n’ai pas envie de penser à quelque chose de triste.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Vous êtiez dans le magazine Têtu récemment. Seriez-vous une icône gay ?

DAPHNÉ BÜRKI. Je ne sais pas, ils ne me l’ont pas dit. On avait envie de se rencontrer. C’est un ami d’ami d’ami qui a favorisé cette rencontre. On avait envie de parler de tout mais je ne sais pas si je suis une icône gay.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Buviez-vous du Schweppes Zéro avant cette campagne de pub ?

 

Alex Lutz

DAPHNÉ BÜRKI. Je ne bois que du Schweppes Zéro Agrum’, les autres, c’est pas mon truc et j’assume complètement.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Comment vivez-vous le fait d’avoir été choisie pour être l’image de Schweppes comme ont pu l’être Nicole Kidman et Uman Thurman ?

DAPHNÉ BÜRKI. Pour moi, je n’ai pas été choisie. Les gens de chez Schweppes et moi, on se connaît vraiment depuis longtemps et Gunther, mon fiancé, travaille avec eux depuis trois ans. Donc, à force de se parler, se rencontrer, c’est venu comme ça. Ils nous ont dit : «On aimerait bien faire une édition limitée avec vous deux». Il n’y a donc pas de calcul et je n’ai pas du tout l’impression d’être une égérie au sens où le sont ces deux comédiennes internationalement connues. On a travaillé hyper simplement et on s’est beaucoup amusé ! Et puis je vais passer deux ou trois soirées à La Villa Schweppes, c’est l’endroit où on fait le mieux la fête. Ils savent qu’on aime bien sortir Gunther et moi et, ce qui est rare, c’est qu’on aime bien sortir en amoureux. Ça leur a donc semblé normal de nous solliciter tous les deux.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Quelles indications vous a t-on données pour ces canettes ?

DAPHNÉ BÜRKI. On était libre de faire ce qu’on voulait. On a voulu faire quelque chose qui nous ressemble. J’ai fait le gros cœur, un arc-en-ciel et une grosse bouche et Gunther a dessiné le poing américain avec des cœurs, une tête de mort et une moustache. On est pour la diffusion de l’amour, voilà le message. C’est peut-être un peu cul-cul, mais c’est nous.

LEBLOGFEMMEQUIRIT. Pour les canettes vous avez dessiné des tatouages. Que racontent-ils de votre vie et de votre couple ?

DAPHNÉ BÜRKI. Mon premier tatouage date d’il y a trois ans. Il se trouve sur mon poignet en tout petit, c’est le nom de ma fille. J’ai le mot Paris sur le bras parce que j’y suis née; Gunther a Chelles parce qu’il y est né. Mes tatouages racontent un peu ma vie. Quand il m’arrive quelque chose d’important, je le raconte à Sharon, ma tatoueuse installée à Londres. On s’échange des idées, des dessins puis je fais le voyage pour passer à l’acte. Pour nos tatouages, Gunther et moi, on se consulte mais il nous arrive de nous faire des surprises : pendant qu’il tatoue mon prénom, au même moment, sans qu’il le sache, je me fais tatouer ses initiales. Et quand on se les montre, on est hilare ! Je n’ai pas de tatouage préféré. Il reste toujours à venir quand on est une addict de ce genre d’expression. Une fois inscrit, il fait partie de nous et on envisage déjà d’en avoir un autre.

Le coffret de deux canettes est vendu en exclusivité chez Colette et sur villaschweppes.com depuis le 1er avril 2013. Les bouteilles d’un litre sont disponibles en grandes et moyennes surfaces.

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