Charlotte Lebon atout du Grand méchant loup.

Charlotte Lebon incarne Le Grand Méchant Loup du film de  Nicolas & Bruno. La pétillante Canadienne  y est libre, drôle et naturelle comme au temps de ses présentations de la météo sur Canal+.

Elle pose en Marie-Antoinette mais c’est Poelvoorde qui perd la tête !© Mars Distribution.

Je ne sais si Charlotte Lebon est dans la vie un grand méchant loup (si l’atout du Grand méchant loup a tout d’un grand prédateur) mais je constate qu’au cinéma elle avance à grands pas (Astérix, L’Ecume des jours… et bientôt le film sur Yves Saint-Laurent de  Jalil Lespert). Qu’elle est toujours juste  et bonne même dans les comédies un peu paresseuses (La stratégie de la poussette). Dans Le Grand Méchant Loup où elle fait battre le cœur de Benoît Poolvoerde, la comédienne québécoise, qui fit les belles heures de la météo dans Le Grand Journal, interprète une partition délicate. Et évite tous les écueils, notamment celui de la bimbo décérébrée tombant un quadra qui ronronne. On n’avait pas vu autant de fraîcheur au cinoche depuis très longtemps. Le film est drôle, le casting bien pensé (Poelvoorde, Kad Merad, Fred Testot, DenisPodalydes, Zabou Breitman, Cristiana Reali, Linh-Dan Pham, et Marie-Christine Barrault) et le scénario plein de belle surprises. J’ai vraiment passé un bon moment et vous conseille vivement ce film.

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Et parce qu’elle me fait rire, j’ai voulu savoir ce qui faisait rire Charlotte Lebon. Je n’ai pas sollicité d’ITW auprès de son agent mais j’ai trouvé un début de réponse dans l’entretien qu’elle a accordé à la journaliste Stéphanie Lamome dans l’édition juillet-août du magazine Première.

Première n°437/438.

Stéphanie Lamome :-Et vous, qu’est-ce qui vous fait rire ?

Charlotte Lebon:Les univers absurdes où les kiwis, les frites et les cochons d’Inde parlent, les gens qui ont du recul sur eux-mêmes, la poésie, Steve Carell, Will Ferrell, Baptiste Lecaplain -avec qui je tourne ne ce moment un film de Benjamin Guedj, Libre et assoupi-, les métaphores foireuss, les bides, les silences inconfortables, les blagues si nulles qu’elles en deviennent drôles, le mot “slip” et les chihuahuas. Je les adore, mais ils ont l’air tellement idiots…”

Retrouvez l’intégralité de cette interview dans Première et courez après Le Grand méchant loup à l’affiche actuellement.

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